• Une victoire / JPSartre.

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  • Vous aimez l'Algérie 
    Vous avez combattu pour idée De Libération De L'Algérie De Colonialisme Au Tyrannie De Clan De Oudjda De 1947 à 1970

    ah KRIM voilà le résultat de ton sacrifice 
    Un sacrifice inutile

    Exécuté le 18 octobre 1970 par des hommes de Boumediene

    Assassinat de Krim Belkacem : cet autre crime
    d’État

    “La cour révolutionnaire qui sera présidée par le commandant Abdelghani, membre du Conseil de la Révolution
    et chef de la 5e Région militaire, sera composée du commandant El-Hachemi Hadjeres et de Fardheb
    Boumedienne, conseillers assesseurs et des capitaines Seddik Mediouni, Abdelhamid Latrèche, Mohamed
    Benmoussa, Hocine Hamel, Athmane Bouziane, Makhlouf Dib et Mabrouk Adda. Le siège du ministère public
    sera occupé par le commandant Ahmed Draïa, procureur général, assisté de M. Henni Merouane, substitut
    général.” Telle a été l'annonce faite par le journal El Moudjahid à l'ouverture du procès de Krim Belkacem et des
    militants du MDRA en date du 24 mars 1969. Alors qu'il publiait la liste des juges pour la parodie de procès du
    MDRA, El Moudjahid insérait sans retenue et sans pudeur une dépêche faisant état d'une lettre adressée à l'ONU
    par Ali Farrah, président de la commission sur l'apartheid dénonçant “le nouveau crime que se préparaient à
    commettre en Afrique du Sud les tribunaux racistes contre douze Africains” et exigeait l'arrêt du procès et la
    libération inconditionnelle des prisonniers ! Un comportement et des pratiques toujours en vigueur du fait que la
    nature du système n’a point changé. N’a-t-on pas vu dans diverses occasions un ministre de la Justice aller dans
    des concerts internationaux défendre l’indépendance de la justice et des juges, le respect du droit ainsi que
    celui des droits humains, alors que dans son pays l’Algérie, on parle de “petits juges” pour le peuple “d’en haut”
    et de “grands” juges pour le peuple “d’en bas” ?!
    N’a-t-on pas vu cet autre responsable du Conseil constitutionnel aller discourir sur les vertus du respect de la
    Constitution quand dans son pays il a cautionné toutes les dérives et le viol de la Constitution dans des moments cruciaux pour l’Algérie ? C’est ce même régime, ce même pouvoir, ce même système qui a ordonné le
    lâche assassinat de Krim Belkacem.
    Après dix-sept jours de simulacre de procès, celui de la Cour révolutionnaire d’Oran, le verdict tomba sans appel
    : Krim Belkacem est condamné à mort par contumace avec, en prime, un véritable appel au meurtre (une fetwa
    de nos jours) publié cette fois dans le quotidien de l'Ouest La République : “Tout Algérien se doit d'être
    l'auxiliaire de la justice en exécutant la sentence de mort en tout lieu et à tout moment.” Après cette
    condamnation et cet appel, la chasse à l’homme pouvait commencer. L’ordre donné, chacun de son côté
    (services officiels et services parallèles) utilise ses propres ressources, ses propres moyens, ses propres relais,
    pour prendre contact avec Krim, ce qui explique tout le flou entretenu et entourant son assassinat. Une chose
    est certaine : l’assassinat de Krim Belkacem est un crime d’État commandité par le pouvoir de Boumediene et
    exécuté par des agents de services indifférents à l’illégalité des missions qui leur sont confiées.
    L’assassinat de Krim Belkacem le 18 octobre 1970 dans sa chambre d’hôtel à l’Intercontinental en Allemagne
    fédérale n’a été possible que grâce à la conjonction et la complicité de plusieurs services, certains “passifs”,
    d’autres “actifs”, et la collaboration de plusieurs personnes parmi les plus insoupçonnables. Passons sur la
    complicité des proches, sur les détails qui ont précédé le rendez-vous fatal du 18 octobre 1970.
    Passons sur le concours des services marocains qui ont donné l'itinéraire, le pseudonyme de Krim Belkacem,
    alias Mohamed Maâmeri et d'autres informations entre les 15 et 16 octobre à des éléments ayant fait partie du
    complot. Mais que dire du refus de la France de permettre à Krim Belkacem de rencontrer les émissaires de
    Boumediene sur son sol ? La lettre de M. Buron, un des signataires des accords d’Évian, adressée au président
    français Georges Pompidou demandant des explications sur ce refus n’a jamais obtenu de réponse ! Que dire de
    l'attitude des autorités de l'Allemagne fédérale, pays de démocratie, de liberté, des droits de l'homme et surtout
    un État de droit, dans l'affaire Krim Belkacem qui s'est déroulée chez elle ? À son entrée sur le territoire
    allemand, la police allemande est venue lui proposer sa protection. Pourquoi ? Contre qui ? Savait-elle que Krim
    était menacé ? Krim, mis en confiance par ses amis d'Alger, soucieux de la gravité de la situation dans laquelle
    se trouvaient ses militants incarcérés dans les geôles du pouvoir, ne pouvait décliner l'offre de la rencontre￾négociation avec les émissaires de Boumediene. Krim pouvait-il les abandonner ? Avait-il d'autres choix ? En ce
    18 octobre 2017, 47 ans après ce lâche assassinat de Krim Belkacem, nous nous retrouvons comme chaque
    année à ce redez-vous de la mémoire et de la vérité empêchée. Et comme chaque année, l’État, ses
    représentants seront, bien sûr, absents, ce qui dénote le malaise de ce pouvoir et de ses représentants devant
    ce monument et ce Héros de l’Algérie combattante.
    Par Le Dr Maiz
    Membre fondateur et ex-secrétaire général du MDRA

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  • هذا ما قاله الجنرال " شارل ديغول " خلال زيارته لتيزي وزو سنة 1961 م 

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  • Guerre d'Algérie et disparus

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    Mohamed Salhi a partagé une publication.
     Hier, à 10:48 · 
     
     
     
    Aucun texte alternatif disponible.
    Driss Tadjine à CNAPESTE MEDEA

    رسالة تلميذة من الثانوية التي زارتها السيدة #ميركل بالأمس و هذا نصّها :

    زيارة الوزيرة الالمانية {انجيلا ميركل} اليوم لثانوية عائشة ام المؤمنين وتم حبسنا داخل الاقسام مع اعطائنا لمجة على الساعة العاشرة والنصف(حبة بنان. عصير رويبة.ياغوت.ماء.قاطو برينو ههههه) مع منعنا من الاكل مجددا ولا الذهاب الى المرحاض ٧__٧
    والجميل في الامر انو القسم الذي حضرت فيه الوزيرة درس في الفيزياء تم استبدال الاستاذ الرسمي باستاذة اخرى (لانه ملتحي ويلبس قميص) مع طرد خمس تلميذات من القسم الاولى متجللبة واثنتان لا يعرفان اللغة الفرنسية والاخرتان كتوماتان (timide) نسيت امرا :البارحة طلبت منا الادارة تغيير القسم بحجة ان العدد كبير وسنزعجهم (لان القسم قريب من قاعة المحاضرات) لابأس يعني الامر عادي مع العلم اننا تلاتة متجلببات في القسم ولا نلبس المئزر^^
    واليوم كانت صديقتي المتجللبة واقفة امام الباب قامت المراقبة باستفزاز صديقتي بفعل (لمستها من جلبابها ورفعته قليلا) وقالت لها (نتي قالحق تحشمي كي راكي بهذا وتدخلي لقسمك لانو علاجالكم لي بدلنالكم القسم )
    حسبنا الله ونعم الوكيل
    حسبنا الله ونعم الوكيل
    حسبنا الله ونعم الوكيل
    احقا نحن في بلد مسلم؟؟
    مع العلم ان المانيا من بين الدول التي رفضت ان تمضي على قانون منع الحجاب في بلادهم !!
    فلماذا نستحي لهاذا الدرجة من ديانتنا!!!
    حسبنا الله ونعم الوكيل
    منصورين باذن الله 

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    Katia Bengana a été assassiné le 28 février 1994 à l'âge de 17 ans par les islamistes
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  • إعدام الشاعر أحمد النعيمي في العراق صباح اليوم صاحب قصيدة : نحن شعب لا يستحي !!
    اسمع القصيدة الذي شنق من أجلهاا

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  • Reconnaissance de l'assassinat d'Audin par la France

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     S’abonner ·  10 septembre · 
     
     
      
    Cachez moi cette photo que je ne saurais voir, dirait Tartuffe, le faux dévot de Molière.
    Voici la photo qui a déclenché un déferlement de haine et de violence verbale. L'image est, pourtant, édifiante. Il faut en convenir que ce n'est pas la meilleure image pour faire office de bienvenue aux milliers de passagers traversant Mechtras. En ayant dressé ce constat, crûment, nous espérions attirer l'attention des responsables sur l'état général du quartier Alma Dinar qui est dans un état lamentable et qui nécessite, donc, une opération de nettoyage afin de redonner à celui-ci son lustre d'antan. Malheureusement, au lieu de cela, nous avons, au contraire, étés voués aux gémonies. Des apprentis nazillons nous ont même suggéré de quitter "leur ville" sous prétexte que nous ne serions pas des "Mechtrassiens" et qu'il nous est, donc, interdit de participer aux affaires de "leur cité". A l'heure de la globalisation, on en est, encore, à des querelles de clocher. Triste !
     
    L’image contient peut-être : ciel, plante, plein air et nature

    Aujourd'hui un de mes commentaires illustré par une photo de l'entrée Est de Mechtras jonchée de détritus et envahie par de mauvaises herbes de la taille d'arbustes a été supprimé. Bien que je n'approuve aucunement le procédé, puisqu'il s'agit bel et bien d'une censure, je peux comprendre, néanmoins, le but des administrateurs de cette page qui est celui de mettre fin à la polémique et de ce fait, arrêter les hostilités. Je reviendrai sur ce déchaînement de violence verbale déclenché par un simple constat. Celui d'avoir signalé des insuffisances en rapport avec le quotidien de notre quartier que nous voulons améliorer. Pourtant, l'image est édifiante. Le quartier Alma Dinar est délaissé depuis longtemps, contrairement aux autres quartiers qui sont régulièrement entretenus. On ne fait que revendiquer notre part de dignité, après tout. Mais, apparemment cela ne semble pas plaire à certains. Tels des cerbères, et, toutes griffes dehors, ils sont prêts à tout pour défendre "leur ville". Tiens! Ça me rappelle les petits soldats du sinistre Zerhouni sortis pour défendre "leur capitale" en cassant du kabyle. C'était un certain 14 juin 2001. Oui, je suis indigné. Comment se fait-il qu'une simple revendication de bien être déclenche toute cette surenchère. Cela démontre à quel point cette société est fermée et restera, certainement, opaque à toute éventuelle émancipation et surtout au débat contradictoire. Sinon comment expliquer cette polémique qui ne dit pas son nom? Pourtant, à aucun moment, nous n'avons porté atteinte à la dignité de personne ni nous n'avons ciblé qui que ce soit. On ne le répétera jamais assez, notre but est de voir notre quartier nettoyé et régulièrement entretenu au même titre que les autres. Et ceci est notre droit le plus absolu. A bon entendeur, salut. Sans rancune.....

    Elvaz Elcondor Taibi Mr rabhallah ta franchit le rubicon que des contradictions dans tes écris l'époque des romains et gaulois fait parti de l'histoire le passe nous enseigne l'avenir omar cheballah n'est pas haliche amar mahfoud larbani n'est pas ahcene kavrane omar chebala et mahfoud larbani ont démoli le rubicon mechtras c'est la lumière comme l'antique Rome la preuve ta quitter sid ali moussa

     

    Slimane Rabahallah Je ne sais pas à qui je m'adresse. Puisque vous vous cachez derrière un pseudo. Vous parlez de rubicon, une limite qu'on n'aurait pas le droit de franchir mais, vous oubliez de citer ceux qui fixent ces limites et surtout, quelles sont ces limites? Dans votre commentaire, en guise de réponse à mon post, vous citez des noms alors que le bon sens aurait voulu que le débat contradictoire ait lieu dans la sérénité sans attenter à la dignité de personnes. Et c'est ce que nous faisons depuis toujours. Puisque, je le répète, nous n'avons, à aucun moment, ciblé qui que ce soit. Maintenant, si revendiquer notre part de dignité en signalant des insuffisances en rapport avec le quotidien de notre quartier serait interprété par vous comme une attaque visant le maire que vous semblez défendre becs et ongles, alors, libre à vous de comprendre ce que vous voulez. Et puis, ce que je n'arrive pas à comprendre, le maire, si réellement, il se serait senti visé peut bien se " défendre " lui-même. Il n'a pas besoin de vos services. Quand bien même, il serait sujet à critiques, il est, après tout, un homme public et devrait, de ce fait, les accepter. Puisque, apparemment, vous êtes au fait de tout ce qui se passe au niveau de Mechtras et que vous seriez dans le giron des "décideurs", pourriez-vous, s'il vous plaît, nous expliquer pourquoi nous n'avons pas le droit de revendiquer notre part de bien être? Peut-être, parce que nous ne sommes pas des " Mechtrassiens" ? Comme l'auraient suggéré certains, et vous, aussi, d'ailleurs. C'est, sans doute, ce que vous définissez comme rubicon? N'est ce pas? Triste, vraiment triste! Vous me reprochez, enfin, le fait d'avoir quitté mon village pour venir squatter "chez vous" et là, encore, vous ne citez pas cette loi ou cette recommandation qui interdit la "migration". L'intolérance et l'intégrisme ont, encore, de beaux jours devant eux.........

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    • 1980, L'ANNÉE OÙ AL-QARDAOUI CHASSA ARKOUN DE L'AURASSI

    Au deuxième jour du séminaire de juillet 1980, Mouloud Kacem Naït Belkacem appela le professeur Mohamed Arkoun à monter sur l’estrade de la «salle rose» de l’hôtel Aurassi pour donner sa conférence.

    Mohamed Arkoun monta sur ladite estrade, salua poliment les nombreux présents et commença à «résumer» (il n’avait, comme tous les intervenants, que 20 minutes pour son intervention) sa conférence qui avait été déjà distribuée le premier jour aux nombreux invités. Comble de malheur pour Arkoun, beaucoup de «frérots» attendaient ce moment depuis… la veille ! Notre grand professeur parla juste cinq ou six minutes et… les sifflets, les cris violents et les bouches à la salive dégoulinante scandèrent : «Kafer, kafer, hadha mouch islam, hadha kofr» (athée, athée, cela n’est pas l’islam, cela est de l’athéisme) ! Poussant «le bouchon» plus fort, plutôt le «shootant» violemment, El Quaradhaoui Mohamed El Ghazali(1) et leurs disciples les «Frères musulmans» égyptiens et jordaniens surtout, se levèrent et crièrent : «Akhrigouh, akhrigou el kafer» (faîtes le sortir faites sortir l’athée) ! Le professeur Mohamed Arkoun, avait tout compris ! Calmement, silencieusement, il plia «ses feuilles» et… accéléra le pas vers la sortie de la «salle rose»(2). S’attendait-il à ce «refus de la… science», de «la modernité» ? Seul cheikh Abderrahmane El Djilali courra derrière lui. Il était comme lui, le seul «théologien» habillé en costume et cravate «alpaga» ! Mais Mohamed Arkoun ne revint pas à la «salle rose». Il lui avait dit poliment : «Je te respecte beaucoup. Tu es un frère pour moi… un vrai ‘‘âllim’’ (savant religieux), mais…» Selon le témoignage de feu cheikh Abderrahmane El Djillali, «des larmes drues coulaient déjà sur les joues d’Arkoun et un violent sanglot étrangla sa voix (…) Je l’ai laissé partir. Je suis revenu à la
    salle. Je me suis assis au fin fond. L’après-midi, j’ai trouvé un prétexte pour ne pas lire mon intervention, j’ai dit à Mouloud Kacem que j’avais une fièvre carabinée et que je devais, tout de suite, voir un médecin».(3)

    -1- «Importé» par Chadli, nommé président du conseil scientifique de l’université Emir Abdelkader (1984-1987), il distilla «son mortel venin», prépara «les pionniers du GIA» avant d’être humilié et chassé par des étudiantes et des étudiants qui avaient découvert qu’il avait aménagé son appartement en maison de rendez-vous !
    -2-3- Témoignage de cheikh El Djilali in Alger : culture, intellectuels et histoire. Emission «Une ville, un écrivain» de Djilali Khellas.ENTV 1999.

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  • France Culture

    Le paysage intellectuel français s’est-il appauvri depuis l’époque de Sartre et de Foucault ? Avec l’arrivée des nouveaux philosophes dans les années 1970, c’est aussi l’apparition d’un nouveau phénomène : l’intellectuel médiatique. Le point de vue de Christian Salmon, écrivain et éditorialiste à Mediapart
     
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  • Mythologie Berbèree

    Le culte d'Anzar est une survivance du culte de Poséidon que pratiquaient nos glorieux ancêtres. Mais la véritable fiancée a été remplacé par une marionnette. L'arenja (la louche) est une modification tardive du culte de la pluie, probablement pour des raisons islamiques.

    Cependant "Tislit Onzar" (la fiancée de la pluie) reste le symbole de tout un culte voué au dieu de l'eau.

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