• 1 Juin 2018 /http://lesavoire.over-blog.com

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    Le financement des mosquées en Kabylie

     En revenant à notre publication (postée sur notre Page culture histoire actualité en Kabylie le vendredi dernier, a Permis d'avoir les renseignements suivantes:

    1- La mosquée est située à Souk N Letniyen à côté de Maatqa

    2- L'argent provient de l'ambassade d'Arabie Saoudite, par l'intermédiaire de Hocine Gheham, un Algérois, qui y travaille en tant qu'interprète (interpréter quoi?). Cet individu distribue de l'argent à ceux qui acceptent de prendre le projet de construire dans leur village, à hauteur de 3 milliards de dinars par mosquée. La personne recrutée se charge ensuite d'exécuter ce plan au niveau de son village.

    3- À Maatqa, cet individu, Hocine Gheham est connu et tout le monde se méfie de lui. Il a amassé une fortune et circule avec une voiture Mercedes Benz. Il a le statut semblable à celui des Bachaghas du temps de l'administration turque (un officiel gradé). Les personnes qu'il approche pour mener à bout ces projets sont souvents démunies, dépourvues de valeurs kabyles et prêts à tout pour une somme d'argent.

    4- plusieurs mosquées dans plusieurs villages ont été construites de cette façon.

    La question qui se pose: comment arrivent-ils à avoir des autorisations de l'administration algérienne sans faire d'enquête d'où proviennent les sommes d'argent injectées alors que les projets économique de nature à générer des emplois et absorber le chômage sont bloqués par cette même administration? ce qui suggère que l'administration algérienne est au courant et complice.

    Il s'agit bien du projet de wahabisation et d'arabisation de la Kabylie, avec l'Association Iqra que nous avons déjà dénoncée. La Kabylie doit trouver un moyen de mettre fin à ce génocide culturel wahabite. Les comités de village doivent être réhabilité et expurgés de kabyles de service chapotés par les partis de la régence d'Alger (RND, FLN, HAMAS, etc.).

    Merci à toutes et tous de vos réactions et continuez à nous communiquer les informations concernant ce sujet.

    Les seuls projets non-bloqués par l'État colonial algérien en Kabylie: les mosquées grandioses, wahabites, abritant des écoles coraniques et financées par l'Arabie Saoudite. En voici un échantillon à Maatqa, où elle a surgi comme un champignon, du jour au lendemain.

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    LA LETTRE D’HENRI FERTET


    Le Président de la République ( E. Macron ) a lu hier à Portsmouth la lettre d’Henri Fertet, jeune résistant de Besançon, fusillé à la Citadelle par les Nazis le 26 septembre 1943. Il allait avoir 17 ans le mois suivant. Il participait aux FTP (mouvement de Résistance créé par le PCF et dirigé par Charles Tillon) et appartenait au Groupe Guy-Môcquet, du nom de ce jeune résistant de 17 ans fusillé un an auparavant au camp de Châteaubriant. Nicolas Sarkozy, qui s’était invoqué de Guy Môcquet pendant sa campagne de 2007, avait voulu commémorer le souvenir du jeune résistant en obligeant la lecture de sa propre lettre à sa mère, chaque année dans les écoles. Contesté, accusé d’instrumentalisation, y compris par Simone Veil, il avait reculé. 
    La lettre d’Henri Fertet est bouleversante, bien connue à Besançon, où une rue porte le nom du jeune résistant. YF

    « Chers Parents,

    Ma lettre va vous causer une grande peine, mais je vous ai vus si pleins de courage que, je n’en doute pas, vous voudrez encore le garder, ne serait-ce que par amour pour moi. Vous ne pouvez savoir ce que moralement j’ai souffert dans ma cellule, ce que j’ai souffert de ne plus vous voir, de ne plus sentir peser sur moi votre tendre sollicitude que de loin. Pendant ces 87 jours de cellule, votre amour m’a manqué plus que vos colis, et souvent je vous ai demandé de me pardonner le mal que je vous ai fait, tout le mal que je vous ai fait. Vous ne pouvez vous douter de ce que je vous aime aujourd’hui car, avant, je vous aimais plutôt par routine, mais maintenant je comprends tout ce que vous avez fait pour moi et je crois être arrivé à l’amour filial véritable, au vrai amour filial. Peut-être après la guerre, un camarade vous parlera-t-il de moi, de cet amour que je lui ai communiqué. J’espère qu’il ne faillira pas à cette mission sacrée.

    Remerciez toutes les personnes qui se sont intéressées à moi, et particulièrement nos plus proches parents et amis ; dites-leur ma confiance en la France éternelle. Embrassez très fort mes grands-parents, mes oncles, tantes et cousins, Henriette. Donnez une bonne poignée de main chez M. Duvernet ; dites un petit mot à chacun. Dites à M. le Curé que je pense aussi particulièrement à lui et aux siens. Je remercie Monseigneur du grand honneur qu’il m’a fait, honneur dont, je crois, je me suis montré digne. Je salue aussi en tombant, mes camarades de lycée. À ce propos, Hennemann me doit un paquet de cigarettes, Jacquin mon livre sur les hommes préhistoriques. Rendez « Le Comte de Monte-Cristo » à Émourgeon, 3 chemin Français, derrière la gare. Donnez à Maurice André, de la Maltournée, 40 grammes de tabac que je lui dois. Je lègue ma petite bibliothèque à Pierre, mes livres de classe à mon petit papa, mes collections à ma chère petite maman, mais qu’elle se méfie de la hache préhistorique et du fourreau d’épée gaulois.

    Je meurs pour ma Patrie. Je veux une France libre et des Français heureux. Non pas une France orgueilleuse, première nation du monde, mais une France travailleuse, laborieuse et honnête. Que les Français soient heureux, voilà l’essentiel. Dans la vie, il faut savoir cueillir le bonheur.

    Pour moi, ne vous faites pas de soucis. Je garde mon courage et ma belle humeur jusqu’au bout, et je chanterai « Sambre et Meuse » parce que c’est toi, ma chère petite maman, qui me l’as apprise.

    Avec Pierre, soyez sévères et tendres. Vérifiez son travail et forcez-le à travailler. N’admettez pas de négligence. Il doit se montrer digne de moi. Sur trois enfants, il en reste un. Il doit réussir.

    Les soldats viennent me chercher. Je hâte le pas. Mon écriture est peut-être tremblée ; mais c'est parce que j'ai un petit crayon. Je n'ai pas peur de la mort ; j'ai la conscience tellement tranquille.

    Papa, je t'en supplie, prie. Songe que, si je meurs, c'est pour mon bien. Quelle mort sera plus honorable pour moi que celle-là ? Je meurs volontairement pour ma Patrie. Nous nous retrouverons tous les quatre, bientôt au Ciel. Qu'est-ce que cent ans ? Maman, rappelle-toi : « Et ces vengeurs auront de nouveaux défenseurs qui, après leur mort, auront des successeurs. »

    Adieu, la mort m'appelle. Je ne veux ni bandeau, ni être attaché. Je vous embrasse tous. C'est dur quand même de mourir.

    Mille baisers. Vive la France.

    Un condamné à mort de 16 ans. Excusez les fautes d'orthographe, pas le temps de relire.

    Expéditeur : Henri Fertet, au Ciel, près de Dieu. »

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  • Il y a à boire et à manger ... Il y a aussi les acteurs conscients ou manipulés producteurs de cette effervescence qui coïncide exactement avec le 27 ème jour du ramadhan. Le but est clairement expliqué par les intervenants et l'on est amené à penser que Mechtras vient de sortir d'une guerre civile et le tout est pensé, à juste titre, pour réparer les dégâts et panser les blessures. En somme, une concorde civile. Le temps des prières dans la rue est dépassé et nous voilà dans l'ère des "iftars" dans la rue. Pourquoi bloquer une route nationale au détriment de ses usagers? Et ça, c'est révélateur des soubassements de la cause.  En plein hirak, n'y a t-il pas mieux à faire que d'occuper les jeunes de cette manière?

     

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