• Albert Camus, Alger Républicain, le 5 juin 1939

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  • Par DDK | 14-05-2018

    Une délégation menée par Cherif Mellal s’y est rendue avant-hier

     

    Accueil royal pour la JSK à Mechtras

      

    Les autorités locales de Mechtras, au sud de Tizi-Ouzou, ont offert avant-hier un déjeuner en l’honneur de la JSK qui a réussi à relever le défi de se maintenir en Ligue 1 Mobilis après son succès vendredi face aux Algérois de l’USMA, par trois buts à deux. Le président Cherif Mellal et ses accompagnateurs, à savoir le Directeur général du club Nacim Ben Abderrahmane, le manager Doudene Karim, l’ex gardien de but Mourad Amara, le coach adjoint Mourad Karouf, les joueurs Belkalem, Raiah et Renai ont été accueillis par les autorités locales de Mechtras, à leur tête le président de l’APC Omar Cheballah. Les hôtes de Mechtras ont eu droit un bain de foule avec des centaines de fans des Canaris. Le maire de Mechtras dira, lors de son allocution : «C’est un honneur et un immense plaisir d’accueillir le président Mellal et ses accompagnateurs dans notre localité. Cherif Mellal, l’ensemble des encadreurs et des entraineurs ainsi que les joueurs ont tous été à la hauteur puisqu’ils ont réussi à atteindre leur objectif, celui de maintenir notre club en Ligue 1 Mobilis. Nous ne pouvons les remercier suffisamment pour tout ce qu’ils ont fait. En cette heureuse circonstance, je tiens à les assurer de notre soutien et de celui de nos supporters pour construire un club fort comme c’était le cas il y a quelques années. La JSK, c’est notre identité, notre patrimoine, notre avenir et notre porte voix». Mellal Cherif et ses accompagnateurs n’ont pas manqué, pour leur part, de remercier les fans et les autorités locales pour le bon et le chaleureux accueil qui leur a été réservé.

    H. T.

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    Omar Cheballah
     4 mars · 
     

    Bonjour à tous, donc comme IZURAN vous a promis pendant la compagne électorale, la transparence dans son long parcours,je tiens à vous informer de ce qu'on a pu arracher pour la première moitié de l'année en cours comme projets et opérations.

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    Moula Siyoucef a partagé une publication.
     4 h · 
     

    j'aime beaucoups cette photo avec 4 colonels SUR PLACE:assis:
    .COLONEL DEHILES SADEK (SLIMANE )...COLONEL KRIM BELKACEM..COLONEL AIT HAMOUDA AMIROUCHE....
    debouts:.COLONEL MOHAMEDI SAID.(casque allemand ).avec un garde de corps.

     
    L’image contient peut-être : 3 personnes, plein air
    Mourad Idri est avec Thiziri Queen et 9 autres personnes.

    Krim, Amirouche, Rencontre ultime pour un futur chef légendaire de la Kabylie

    En mars 1955, Krim Belkacem avait besoin de se replonger dans les problèmes de sarégion (La Kabylie). La mise en place d'un réseau à Alger lui avait demandé beaucoup trop de temps. Son bras droit Ouamrane était maintenant chef de l'Algérois (Après l'Arestation de Rabah Bitat), il avait donc dû donner des responsabilités accrues à certains chefs de zone qui depuis le 1er novembre avaient fait leurs preuves, mais il ne tenait pas à leur laisser la bride sur le cou car leurs caractères étaient loin d'être faciles.

    Au premier rang de ces hommes se détachait Amirouche, un montagnard de vingt-neuf ans, un sac d'os d'un mètre quatre-vingts, sec et noueux, infatigable. Un visage creusé, des yeux marron très écartés. Longtemps il avait porté la barbe, puis l'avait rasée, ne gardant qu'une large moustache. Il avait quitté son village de Tasseft-Ouaguemoune, dans les Ouacif, en plein Djurdjura, pour travailler à Paris où il avait milité dans les rangs du M.T.L.D. Puis, plus préoccupé de problèmes religieux que de politique, il avait rejoint les rangs des Oulémas réformistes. Sa famille était aisée, intellectuelle, on lisait chez les Ait Hamouda -son véritable nom-, mais il n'avait pas poursuivi d'études. Il était simplement lettré, comme on dit dans les fiches de police, et son intelligence lui permettait d'assimiler et d'analyser une situation.

    Alors, après le 1er novembre 1954, il avait compris. Paris ne l'intéressait plus. Il avait regagné les Ouacif et décidé d'apporter sa contribution à la lutte entreprise.

    En décembre 1954, on avait signalé à Krim qu'un certain Ami­rouche avait pris de sa propre initiative le commandement de la région de Michelet, après la mort de son chef Amar N'Ait Cheikh. Krim n'en avait jamais entendu parler. «C'est, lui dit-on, un élément dangereux qui n'appartiendrait ni au F.L.N. ni au M.N.A. de Messali. Un élément douteux mais rusé et d'une grande autorité.»

    Bref un type capable de lever une bande et de mener la «révolution» pour son propre compte! Krim prit connaissance de ces rapports à Fort-National, près de Michelet. Il était en tournée de contrôle et décida de tirer l'affaire au clair. Il installa son P.C. à Illiten, dans des gorges, sur les hauteurs du Djurdjura, et dépêcha à cet Amirouche un agent de liaison avec «ordre de se présenter immédiatement». Krim avait pris ses précautions. En tournée il était accompagné de trois hommes et avait toujours avec lui le chef local de la région traversée avec son escorte de quatre hommes. Il calcula qu'il fallait environ huit heures de marche pour venir des Ouacif à son P.C. d'Illiten. Il mit en place ses huit hommes armés, ensuite on envisagerait. Amirouche arrive avec quatre heures d'avance ! C'était un marcheur infatigable, capable d'abattre soixante-dix kilomètres dans sa journée! Il se présenta à Krim et les deux hommes se regardèrent fixement. .

    Krim, qui avait une grande habitude des hommes de la montagne, le jugea très rapidement. Un dur, décidé, réceptif, tranchant, impitoyable. Il fallait se l'attacher ou le suppri­mer. Krim l'attaqua sans délai :

    « On m'a signalé que tu as pris de toi-même le commandement de la région de Michelet à la mort de ton chef. Je sais aussi que tu as ramassé de l'argent, que tu as récupéré des armes, que tu as recruté et formé des groupes. Mais tout cela sans ordre supérieur. Voilà pourquoi je t'ai convoqué. Dis-moi d'abord combien tu as d'hommes, quelles sont tes finances et les raisons que tu as pu invoquer pour accaparer le pouvoir régional. Je t'écoute.»

    Amirouche avait subi l'interrogatoire sans broncher. Mais Krim le voyait tendu, crispé. L'homme était pourtant courageux. Il répondit avec une grande franchise :

    « En effet, mon chef de région est tombé. J'ai vu les hommes désorientés, sans contacts. Alors plutôt que de les laisser repartir ou les voir vivre dans l'anarchie, je les ai pris en main en attendant ton arrivée. Je n'avais aucun pouvoir, aucun contact avec vous, mais je pensais que -malgré la mort du chef- si le groupe continuait la lutte, vous nous contacteriez. C'est l'intérêt de la lutte qui m'a guidé et non autre chose. D'ailleurs je suis à tes ordres. »

    Et il donna à Krim, éberlué, des comptes rendus d'activité très bien rédigés d'une petite écriture fine, avec le nom des hommes, les comptes financiers au centime près. Il n'y avait pas d'équivoque. Krim le jugea ferme, décidé, mais obéissant et remarquablement organisé. Il avait fait preuve de qualités de chef extraordinaires.

    «Bien, conclut Krim, secrètement enchanté des qualités de la nouvelle recrue, reposons-nous. Tu as fait une longue marche. Tu auras des instructions après. »

    Le lendemain, Krim avait pris une décision importante. Il expliqua à Amirouche qu'il n'était pas indiqué d'être responsable d'une région dont on était originaire, et ce, pour des raisons élémentaires de sécurité.

    « Je te confie une mission beaucoup plus importante. Tu vas partir avec dix hommes que tu choisiras parmi les meilleurs dans la région qui va de Sidi-Aïch à Bouira, c'est-à-dire toute la vallée de la Soummam, et tu pousseras en direction du Constantinois dont nous sommes coupés. Tu es investi du pouvoir de créer des groupes armés. Maintenant, écoute et note : tu dois appliquer strictement les règles d'implantation du F.L.N. :

    « 1° Avant de pénétrer dans une région, y créer militairement le F.L.N. ;

    « 2° Avoir des liaisons ;

    « 3° Choisir les militants les plus solides pour les faire entrer dans les groupes armés de l'A.L.N. ;

    « 4° Constituer les autres en délégués politiques de village ;

    « 5° Toujours entrer en liaison avec eux avant d'entrer dans le village ;

    « 6° Récupérer des armes auprès de la population qui en a certaine­ment caché ;

    « 7° Récupérer des armes sur l'armée française. »

    Telles furent les premières instructions données à celui qui deviendra un jour le successeur de Krim dans la wilaya 3 et dont le seul nom fera frémir et déployer les plus grandes opérations militaires en vue de sa capture.

    Naturellement Amirouche accepta. Il gardait l'initiative dans la région qu'on lui confiait. C'était, pour cet homme ambitieux, expéditif mais d'un courage extraordinaire, le plus important.

    Pourtant la mission n'était pas de tout repos. Au 1er novembre la population de la vallée de la Soummam avait été la plus réticente à suivre le mouvement. En outre, de forts partis de maquisards M.N.A. fidèles à Messali tentaient de s'y constituer.

    En six mois, Amirouche réussit à prendre toute sa région en main. Marcheur infatiguable, dur à la tâche -pour lui et pour ses hommes- il organisa un maquis «modèle». Il fixa son P.C. dans la région des Bibans, de l'autre côté du Djurdjura. Tant au point de vue collecte d'argent que recrutement d'hommes ou récupération d'armes, ses résultats dépassèrent tous ceux des autres chefs de zone. Buté, expéditif, mais d'un jugement sûr, ce montagnard fit montre d'une énergie peu commune dans l'action. Il imposa sa loi aux villages réticents, éliminant sans hésiter les opposants à la révolution, faisant égorger ou fusiller tout ceux qui se mettaient en travers de son chemin. Au mois de juillet, entre Bouira et Sidi-Aïch, tout le pays était acquis à la révolution, de gré ou de force. Adoré de ses hommes, Amirouche se mélangeait à leur troupe, portant une caisse de munitions, creusant des tranchées comme n'importe lequel de ses djounouds. Veuf depuis le début de 19561 , il n'a jamais chercher à refaire sa vie. Il épouse la cause national et devint le plus important chef de zone kabyle. Après six mois d'activité, Amirouche se trouvait à la tête de huit cents nommes parfaitement entraînés, bien équipés, d'une mobilité extrême. Huit cents maquisards fanatisés par la personnalité de leur chef. Une véritable armée que Krim allait lancer contre les unités françaises qui s'implantaient en Kabylie, et qui pourrait établir la liaison avec le Constantinois dont il n'avait aucune nouvelle depuis le 1er novembre

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  • La sittelle de Kabylie menacée de disparition

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    Mhand Slimani a partagé une publication.
     16 décembre 2017 · 
     

    Quand l'Algérie rehausse un pirate au rang de héro !

    Les envahisseurs Ottomans n'ont rien apporté de positif à l'Algérie !
    Leur règne long de plus de 04 siècles a été des plus destructeurs à la personnalité Algérienne.
    Notre État est-il contre un travail de mémoire dans le sens d'algérianiser les noms de nos villes et villages pour ainsi les expurger d'une connotation de reniement et autres !

    M.Slimani

     
    Aucun texte alternatif disponible.
    Ibari Ahmed
    m et sa fortune personnelle. Il a été conduit en escorte à Naples avec sa famille et sa fortune après avoir signé ce document. C'est malheureux qu'aujourd'hui une commune de la wilaya d'Alger ainsi que ėquipe de foot Nasr Athletic Hussein Dey portent son nom.
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    Mhand Slimani a partagé une publication.
     24 décembre 2017 · 
     

    Au pays de l'imposture, le renégat est héros !

     
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    La Page Thagastoise
    re . Ils veulent minimiser la gravité de la trahison et nous la faire accepter comme une solution . Ils veulent tuer en nous le sentiment de la résistance et l'esprit du martyre pour la liberté et la justice. Plutôt Ben M'hidi ou Tacfarinas qui avaient choisi la mort à la vie, la fierté à la bassesse.
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    Mhand Slimani
     20 janvier ·2018 
     

    Il n'y a pas de révolution propre !
    Indépendamment de ce regrettable épisode qui pèse encore sur les dirigeants de notre glorieuse révolution et Krim en particulier, il n'en demeure que le chef suprême que fut Krim fait qu'il ait été exposé plus malgré les témoignages de Mahmoud Chérif !
    Que dieu ait l'âme des deux dirigeants Krim et Abane.
    Pour conclure, le lion restera toujours lion, gloire à Krim Belkacem.

    M.Slimani

     
    L’image contient peut-être : 8 personnes, personnes debout
    Dernier Martyr à L'ALGERIE, A TRAVERS SON HISTOIRE, SES COUTUMES ET SES TRADITIONS

    Le fils de KRIM BELKACEM ( commandant de bord) écrit au journal libérte du 16/01/2018

    En vertu du droit de réponse, je vous prie de publier ce qui suit : “Soyez fier de votre père”, cette phrase dite souvent par des citoyens de diverses régions du pays en apprenant que j’étais le fils de Krim Belkacem, des propos réconfortants, mais non nécessaires, car je connaissais la valeur humaine, l’honnêteté politique et l’engagement sans faille dans la lutte de Libération de mon père. Malheureusement, dans le fief et la région d’Abane, une “krimophobie” s’est développée, qu’ils justifient par le fait qu’à part Krim Belkacem, personne n’oserait assassiner un personnage irréprochable, un homme au-dessus de tous et pour le mobile simple : la jalousie ! L’élimination d’un obstacle sur la route du pouvoir (à croire qu’il était son supérieur hiérarchique !) et maintenant pour l’empêcher de regagner l’intérieur ! Heureusement, la grande partie du pays, les citoyens ayant la mémoire de la lutte de Libération, les sacrifices consentis par le peuple, n’ignore pas le rôle déterminant engendré par l’existence d’une ossature armée de 700 hommes préparés et organisés par Krim et ses compagnons et l’existence de 400 hommes organisés par Ben Boulaïd dans les Aurès. L’existence de cette organisation a permis à la lutte de Libération de décoller et d’arriver à destination sans risques d’échec comme ce fut le cas lors de soulèvements précédents. Les divergences politiques entre Abane et certains de ses pairs seraient dues à l’annonce de ce dernier lors de son intention de rejoindre le pays et de dénoncer “leur farniente” ; un responsable de ce niveau n’a pas besoin d’annoncer ce genre d’action pour agir, il n’a nullement besoin de divulguer ses intentions. À Tunis, il y avait apparemment un seul patriote : Abane. Donc, ces divergences n’ont jamais été le fait de Krim, comme la décision de se réunir pour statuer sur son cas, et enfin la décision de sa mise en résidence surveillée à Montfleury, banlieue de Tunis. Les prises de décision au sein de l’instance dirigeante du FLN était collégiale, il n’y avait pas de chef suprême, ni de Néron du FLN parmi eux. Krim n’était en aucun cas le parrain d’une “Cosa Nostra”, et contrairement à l’écrit, mon père n’avait ni milice, ni “Tonton Macoute”, même pas un garde du corps, son chauffeur Arezki, son beau-frère, n’avait même pas d’arme, et ceci, je l’affirme en mon âme et conscience. À une certaine période, deux militants montaient la garde dans la villa durant la nuit (villa située à Dermech, banlieue de Tunis, une villa mise gratuitement à sa disposition par l’État tunisien, par la suite, la rue a été baptisée rue de l’Algérie). La surveillance avait été ordonnée par le FLN concernant tous les responsables pour déjouer toute tentative d’attentat de la part d’activistes appartenant à l’organisation “la Main rouge”. Traiter les dirigeants ou une partie d’entre eux de militants de la cause nationale de comportement maffieux est indécent. Certains témoins cités contre Krim étaient tout simplement partie prenante de la décision prise au sujet d’Abane, même si certains sont revenus sur leur accord. Quant à l’accusation de Ferhat Abbas dans son livre, elle repose sur le fait qu’il n’a jamais pardonné à Krim son soutien à Benkhedda pour le remplacer à la tête du GPRA. Preuve en est son ralliement au groupe de Tlemcen, dirigé par Ben Bella contre le groupe de Tizi Ouzou à la tête duquel se trouvait Krim et Boudiaf. En 1958, le pouvoir à Tunis était, en grande partie, aux mains des anciens responsables des Wilayas 3 et 4, à savoir Krim Belkacem aux forces armées ; Mohammedi Saïd : chef d’état-major ; Abane : l’information ; Ouamrane : l’acheminement des armes ; Hamaï (commandant Kaci) : chef de la base de Tunis. Le conflit entre Abane et certains de ses pairs est saisi et a donné l’occasion à d’autres tendances pour bouleverser l’ordre des choses et “casser” le pouvoir de ces deux Wilayas par l’assassinat d’Abane et, surtout, affaiblir Krim en l’impliquant d’une manière ou d’une autre dans ce drame. Comme prévu, ce meurtre impardonnable a entraîné un nouveau rapport de force, et contrairement aux dires, les relations entre Krim et Boussouf se sont détériorées. J’ai assisté, personnellement à l’aéroport de Tunis, à une scène où les deux dirigeants ne s’adressaient pas la parole. Comment expliquer l’acharnement pathologique contre Krim Belkacem, si ce n’est un moyen de justifier son assassinat, le 18 octobre dans la chambre 2020 de l’hôtel Intercontinental à Francfort, par des mercenaires originaires du fief d’Abane, l’un d’entre eux est apparenté par sa mère à Abane, ancien secrétaire du ministère d’État dirigé par Mohammedi Saïd à Tunis. Il utilisait un passeport marocain au nom de Mohamed Taïeb. Ce document, tout comme les autres passeports, a été délivré par le général Oufkir (ministre de l’Intérieur) qui a aidé le système algérien à tuer mon père. Il est vrai que Kasdi Merbah avait auparavant rencontré Krim au 13, rue Pergolèse à Paris pour lui proposer une compensation financière en contrepartie d’abandonner l’activité politique. À noter le refus du consulat de France à Genève de lui délivrer un visa pour se rendre à Paris où il souhaitait rencontrer ses interlocuteurs. Car à l’arrivée de Pompidou au pouvoir, son séjour en France était réglementé. Krim Belkacem, oublié et ignoré de “leur histoire”, qu’importe ! Son esprit est porté par le vent qui souffle sur cette terre de montagnes, foulée et parcourue mille et une fois, qui souffle sur ces cimetières où, par sécurité, il a dormi souvent et souffle à travers ces arbres que sa silhouette a souvent frôlés.

    A.KRIM FILS DE KRIM BELKACEM

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  • Faouzia Charfi: "L’islam politique ne reconnaît pas la pensée rationnelle"

    A l'occasion de sa venue à Paris, la physicienne tunisienne Faouzia Charfi parle de la difficulté d'enseigner les sciences à des étudiants sous l'emprise de l'islam politique et suggère une éducation à l'esprit critique dès le plus jeune âge.

    Faouzia Charfi

    La scientifique tunisienne Faouzia Charfi

    © RACHEL MULOT

    De passage à Paris, la physicienne tunisienne Faouzia Charfi participait à la table ronde "l'Esprit critique, un défi contemporain" organisée le 20 mars 2018 par l'Association des musées et centres pour le développement de la culture scientifique, technique et industrielle (Amcsti) et animée par Sciences et Avenir. L'occasion pour nous de l'interviewer (voir notre vidéo). De culture musulmane, Faouzia Charfi explique s'être posée la question des liens entre l'Islam et la science, dès les années 1970 et 1980, alors qu'elle enseignait la physique à l'Université de Tunis. Elle a cherché à comprendre le rejet de ses étudiants face aux contenus scientifiques, qu'elle lie aujourd'hui à la diffusion de l'idéologie de l'islam politique, qui "ne reconnait pas la pensée rationnelle".

     Elle a consacré deux livres à ces questions sensibles, La science voilée (2013) et Sacrées questions pour un islam aujourd'hui (2018), tous deux publiés chez Odile Jacob. Elle raconte ici comment elle s'est mobilisée il y a deux ans sur les réseaux sociaux, avec d'autres universitaires, en découvrant qu'une étudiante de Sfax poursuivait une thèse pour démontrer que la Terre était plate et fixe et proposer "une nouvelle vision de la cinématique des objets conforme aux versets du Coran ". Soucieuse de l'éducation à l'esprit critique dès le plus jeune âge, la chercheuse appuie également le lancement d'un site de ressources, l'Atelier Médiation Critique, destiné aux médiateurs culturels, enseignants et enseignantes, journalistes et chercheurs et chercheuses, qui doivent faire face à la défiance de certains concitoyens et concitoyennes. "Il est essentiel d'apprendre comment parler de science, de culture et de croyance, dans un climat apaisé, assure-t-elle. "J'espère que les enseignants tunisiens s'empareront de cet outil et même l'enricheront!
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  • Par DDK | 28 fev 2018.

    TIZI-OUZOU - Sud de la wilaya

    Les enseignements de cinq jours sans eau

     Les communes des daïras de Boghni et des Ouadhias ont été privées d'eau potable pendant cinq jours, suite au déboitement de la conduite alimentant les principaux réservoirs d'eau de la région. Aujourd'hui, alors que la situation se rétablit progressivement après la réparation, dans la nuit d’hier, de la conduite endommagée, plusieurs enseignements sont à tirer. Le premier et le plus important, c’est cette solidarité agissante entre les communes et les différents services de gestion d'eau. L'exemple de ce dévouement pour régler le problème à temps nous vient du P/APC de Draâ El-Mizan, qui a mis à contribution son expérience de cadre du secteur des ressources en eau. Son intervention a consisté à mobiliser les moyens et apporter son assistance technique, sans lesquels la réparation de la panne aurait pris un peu plus de temps. Quant aux agences ADE et la direction de l'hydraulique de Boghni, leurs agents et cadres se sont mobilisés jusqu'à une heure tardive de la nuit pour affronter un terrain difficile, d'autant que le lieu de passage de la conduite d'adduction a subi un grand affaissement. Cette situation a compliqué pendant quatre jours l'intervention des équipes dépêchées sur place, privées de moyens pour déterrer la conduite déviée de sa trajectoire. Avant hier, toujours avec l'intervention du maire de Draâ El-Mizan, un engin à chenille a été tracté pour faciliter les travaux, dans un terrain inaccessible et humide. Hier, selon le chef de l'agence ADE de Draâ El-Mizan, «la contribution de tout le monde a fini par porter ses fruits et en même temps cela nous servira d'expérience pour faire face à l'avenir à de telles urgences», dira-t-il. Durant les cinq jours passés sans eau dans les robinets, les présidents d'APC ont déployé tous les moyens dont ils disposaient pour approvisionner les écoles et les centres de santé en eau potable. Sur ce registre, il faut savoir que les fontaines publiques, réalisées par des bienfaiteurs dans certains quartiers de la ville de Boghni, ont été salutaires en permettant aux ménages de s'y approvisionner. Les sources naturelles de Taburt El Ainsar, dans la commune d'Assi Youcef, ainsi que Tala Uguelid de Mechtras n'ont pas manqué de visiteurs pour remplir les jerricans. L’autre enseignement retenu à travers cette crise qui commence à s'atténuer progressivement, c'est la prise de conscience chez les citoyens de la nécessité de préserver l'eau aux moments de sa disponibilité, en rationalisant son utilisation. Côté collectivités, le recours aux anciens réseaux a été une occasion de vérifier leur fiabilité. Il faut savoir que le transfert d'eau quotidien vers le sud de la wilaya se compte par dizaines de milliers de m3, ce qui dénote l'ampleur de l'investissement de l'Etat pour permettre une distribution régulière du liquide précieux vers les points les plus reculés de la wilaya de Tizi-Ouzou. Enfin, il faut saluer le civisme des abonnés de l'ADE qui ont pris leur mal en patience en faisant confiance aux services de l'ADE pour la prise en charge l'incident signalé.

    Merzouk Haddadi

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  • Omar Cheballah à Mechtras city libre / 26 fevrier 2018.

    bonjour à tous, aujourd'hui on va se pencher sur le problème de l'eau qui dure ça fait plus de 03 jours, la panne est survenue à KOUDIAT ASSERDOUN à BOUIRA, mais malgré toute cette panique, la commune de MECHTRAS n'a pas croisé les bras en attendant la réparation de cette panne. elle a mis un camion citerne pour alimenter d'abord en premier les édifices publiques surtout les écoles avec la période d'examens. et certains quartiers sont directement alimentés par la fontaine de TALA OUGUELID.
    Concernant le village ait imghour qui ne fait que profiter des occasions pareils (je dis pas tous le monde) pour sortir des rumeurs sur la commune donc sur le P/APC qui est moi, je vous informe que si le problème persiste et que un seul camion citerne ne peut pas satisfaire toute la commune avec ses villages, on vas tous être obligé de retourner à la bonne vielle méthode: utiliser l'âne, et on aura pas honte parce que cet animal a bâti la Kabylie, la honte c'est de rester chez soi attendre le sifflement de son robinet.

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